L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Nathan Tidridge
Les habitants de #Waterdown réservent leur place pour la parade du père Noël de Flamborough qui aura lieu plus tard dans la journée. #MonOntario
Jeremy Collins
Un sanctuaire en toutes saisons
Quand je pense à Mon Ontario, mon esprit se tourne parfois vers ces froides journées de l'hiver canadien, à la fin de janvier et au début de février, au cours desquelles la neige et la glace prévalent et l'espoir du printemps n'est qu'un rêve éloigné, et pourtant j
Jeu de drapeaux du Royal Canadian Regiment (vers 1901-1906)
Autrefois utilisés à des fins pratiques comme point de ralliement sur un champ de bataille, les drapeaux régimentaires sont aujourd’hui exclusivement des objets cérémoniels qui représentent l’histoire et l’esprit d’un régiment.
Traditionnellement, les régiments d’infanterie canadiens ont deux drapeaux : le premier est le drapeau du monarque régnant portant le monogramme royal, et le second est le drapeau régimentaire portant les décorations illustrant les honneurs de bataille brodées sur des rouleaux. Les honneurs de bataille sont une reconnaissance officielle de l’engagement d’un régiment a
Larry Wayne Richards (ancien membre du conseil de la Fiducie, professeur émérite et ancien doyen de la faculté d’architecture, du paysage et du design John H. Daniels, Université de Toronto)
Les trains de l’Ontario
Mes premiers souvenirs visuels de l’Ontario, je les tiens d’un train de voyageurs il y a 45 ans. En 1972, j’ai franchi la frontière à Detroit et pris le train de Windsor à Toronto. De ma fenêtre, j’appréciais le paysage du Sud-Ouest de l’Ontario, le vert ondoyant des terres
J.M. Rowe, Esquesing Historical Society
La Grande Guerre de 1914-1918Le front intérieur – Georgetown
C’est grâce aux efforts du Women’s Institute de Georgetown que cette courtepointe a été créée en 1915. Les citoyens devaient débourser 10 ¢ pour faire broder un nom sur un carré qui allait servir à la réaliser. Elle a été terminée à temp
Jim Szilva (auteur et fils de Ted Szilva, créateur du projet Big Nickel)
Une pièce de cinq cents et une prière
En 1963, un pompier nommé Ted Szilva s’inscrivait à un concours organisé par le Comité du centenaire du Canada à Sudbury. Le comité avait demandé aux résidants de la ville de trouver un moyen original de souligner et de marquer le centenaire du Canada à Sudbur
Kristen McLaughlin
Je ne suis pas originaire de l’Ontario. J’ai déménagé ici récemment, en septembre 2016. La maison, c’est dans l’Ouest, puisque j’ai grandi en Alberta et que je suis allée à l’école à Vancouver. Il y a dans ce pays une ligne de démarcation bien nette entre les deux moitiés, l’Est et l’Ouest. Lorsque
Extrait d’une entrevue à l’église Notre-Dame-de-Lorette à Wendake, Québec, avec Louis Lesage, biologiste, Ph. D., directeur du Bureau Nionwentsïo
Pourquoi est-il important de préserver la langue wendat?
La culture comporte de nombreuses dimensions. La langue en est une. Quand vous perdez votre langue, vous perdez une partie de votre culture. La langue vous aide à décrire votre environnement, à exprimer clairement ce que vous pensez, à colo
#MonOntario
Choisissez votre aventure
Des lieux historiques aux curiosités touristiques, des festivals aux sentiers de randonnée, il y a tant de choses à voir et à faire dans votre propre arrière-cour. Racontez-nous comment vous préférez découvrir la province!
Joignez-vous à la conversation sur les médias s
Janice Finkle, Adam Leslie et Ian Leslie
Incroyables parcs provinciaux! Nous avons au fil des années fait du camping dans des parcs où nous nous sommes rendus en auto ou en canot. Notre famille ressert ses liens et explore ensemble.
- Janice Finkle, Adam Leslie et Ian Leslie au musée du pénitencier de Kingston – Portes Ouvertes Kingston,
Erin S.
J’ai grandi à LaSalle dans les années 1980, et nous prenions alors plusieurs fois chaque été le traversier pour l’île Boblo. Une partie de cette île, qui est située dans la rivière Detroit en face d’Amherstburg, a été un parc d’attractions du début du XXe siècle à sa fermeture en 1993.
Il y a que
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
Rozyur Rahman
J’aime l’Ontario parce que nous pouvons faire des randonnées dans ses nombreuses forêts. Je peux jouer dans les parcs et les terrains de jeu.
- Rozyur Rahman, Centre des sciences de l'Ontario, le 21 juillet 2017
Todd Stewart (artiste et ancien bénéficiaire du Programme des artistes en résidence Doris McCarthy)
La route 11, près de Hearst
Le lien qui m’unit à un endroit se resserre lorsque je m’y retrouve seul, enveloppé par le silence, loin du monde extérieur. La tranquillité suspend le temps et calme mon esprit. Un endroit parmi plusieurs me vient en tête : la route 11, notamment le tronçon vers le Nor
Muhammad Qureshi (bénéficiaire du Prix du lieutenant-gouverneur pour les réalisations des jeunes en matière de conservation du patrimoine ontarien en 2014)
Notre empreinte toute naturelle
La magie a commencé à opérer un après-midi d’automne frisquet après une partie de hockey avec des amis. J’empruntais un sentier pour revenir chez moi. Les feuilles prenaient des tons jaune vif et rouge flamboyant, et j’ai croisé une tortue peinte se précipitant à so
Keirsten et Kasha
La Place Fulford était à la fin du XIXe siècle le domaine d’un millionnaire appelé George Fulford I. Ce domaine a été transmis à son fils, George Fulford II, qui, au moment de son décès, l’a légué à la Fiducie du patrimoine ontarien. Les trois raisons pour lesquelles la Fiducie a décidé de s’occuper
Leah et Kaitlin, Place Fulford
Dans un lieu historique, nous travaillons quotidiennement avec des artefacts et nous les présentons au public. Ce qui n’est pas évident, c’est l’histoire qui se cache derrière chaque objet, qui rend nos recherches encore plus emballantes et intéressantes. Cette photo montre quelques-uns des 79 objet
Charlie Fairbank (arrière-petit-fils de John Henry Fairbank, pionnier d’Oil Springs)
Un paysage qui demeure
Chaque matin, j’ouvre la porte de notre maison de ferme et je me retrouve dans un paysage immuable de beauté, façonné par le travail de l’homme et des chevaux. Dans les champs, au loin, les taches blanches des moutons; souvent, un cerf bondit dans le lointain et au-dessus de
John Steckley
Mon histoire du côté des Brodie
En 1835, un gamin écossais de neuf ans appelé Alexander Brodie, qui venait de Peterhead, dans le nord-est de l’Écosse, est arrivé par navire et par bateau dans le sud de l’Ontario. Lui et sa famille ont passé leur première année rue Lot (maintenant, la rue Queen),
Centre des sciences de l'Ontario
Le Centre des sciences de l’Ontario se tisse une place dans l’histoire
Le Centre des sciences de l’Ontario est le fier propriétaire d’un métier à tisser Jacquard datant du XIXe siècle, qui utilise des chaînes de cartes perforées pour contrôler les mouvements de la machine. Essentiellement, la prés
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Cet écusson appartenait à Bohdan Panchuk, un des Canadiens les plus influents qui aient participé aux efforts visant à réinstaller des milliers d’Ukrainiens déplacés par la Deuxième Guerre mondiale.
À la fin de ce conflit, un nombre incalculable de réfugiés avaient perdu leur foyer et faisaient fa
Scarlett Janusas (présidente, Scarlett Janusas Archaeology Inc.)
L’archéologie sous-marine
« Dans 20 ans, vous regretterez davantage les choses que vous n’avez pas faites que celles que vous avez faites. Alors, larguez les amarres. Mettez les voiles et sortez du port ô combien sécurisant. Explorez. Rêvez. Découvrez. » – Mark Twain, auteur américain
J’ai touj
Don Pearson
On ne peut pas penser à l’Ontario sans avoir l’eau à l’esprit en toile de fond, qu’il s’agisse de celle des Grands Lacs, qui définissent sa frontière méridionale, ou des magnifiques rivières qui drainent sa vaste étendue et des milliers de lacs éparpillés dans le Bouclier canadien. Le nom « Ontario
Shruthi Dhananjaya
Ayant été élevée à Toronto, j’ai de bons souvenirs de la zone riveraine de la ville. Au fil des années, j’ai visité le front du lac chaque été, et c’est une tradition que je conserve encore. C’est pour moi une oasis de calme en plein au cœur de la ville. J’aime marcher sur la promenade et regarder l
Georges Quirion (architecte et ancien membre du conseil d’administration de la Fiducie du patrimoine ontarien)
La riche histoire industrielle de l’Ontario
Le Nord de l’Ontario possède des structures uniques, généralement méconnues, dispersées dans des petites communautés. Riches en histoire, elles constituent de précieuses ressources pour de nombreuses personnes du monde entier.
L’industrie minière, plus
Carol Page
Mon Ontario est représenté par le lac Ontario. En toutes saisons, la vue du lac est impressionnante. J’ai voulu saisir l’essence même de l’eau du lac en en recréant les couleurs. Mon installation s’appelle « Watermarks ». J’ai utilisé des tissus, des échantillons de peinture, des papiers, des fils d