L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Patricia
Un air de mystère entoure la photo prise par Simone Rusu du 401, rue Richmond Ouest – un édifice industriel patrimonial devenu un centre artistique et culturel – à Toronto. Cette photo a été prise pendant Portes Ouvertes Ontario 2017, pour le deuxième atelier du Programme de photo pour les jeunes du
#MonOntario
Partez à l’aventure cet été!
Depuis la chaleur des feux de camp jusqu’aux splendides panoramas, il y a beaucoup à explorer dans les grands espaces de l’Ontario. Faites-nous connaître vos aventures!
Participez à la conversation sur les médias sociaux : Explorez les billets de #MonOntario sur le camping et joignez-vous à nous sur Instagram, Twitter et Facebook.
Carl Benn (faculté d’histoire, Université Ryerson)
Photos d’une résidence édouardienne
J’ai 16 photographies montrant la résidence de mes arrière-grands-parents à St. Catharines vers 1905. Personnellement, j’aime ces photographies parce qu’elles contiennent des détails de la vie de mes ancêtres. Je vois aussi dans ces images certains meubles avec
Beth Hanna (directrice générale, Fiducie du patrimoine ontarien)
L’Ontario compte des esprits immensément créatifs. Les mots de Thomas King, d’Alice Munro, de Michael Ondaatje et d’Al Purdy. La musique de Glenn Gould, de Gordon Lightfoot, de la Nathaniel Dett Chorale et de Sarah Harmer. Les tableaux de Norval Morrisseau, de Doris McCarthy, d’A.Y. Jackson, de Daph
Don Pearson
On ne peut pas penser à l’Ontario sans avoir l’eau à l’esprit en toile de fond, qu’il s’agisse de celle des Grands Lacs, qui définissent sa frontière méridionale, ou des magnifiques rivières qui drainent sa vaste étendue et des milliers de lacs éparpillés dans le Bouclier canadien. Le nom « Ontario
MonOntario c'est...
MonOntario – Une vision au fil du temps visite des collectivités partout dans la province parce que nous voulons découvrir ce que l’Ontario signifie pour vous!
En 2017, nos stands interactifs et la tournée MonOntario seront sur place lors d’événements communautaires, dans les musées et ailleurs. I
Le « Paradis d'une folle »
Cette propriété surplombe les falaises de Scarborough, écosensibles et géologiquement importantes, qui présentent des sédiments laissés par des glaciers pendant 70 000 ans, lors de la dernière période du Pléistocène. Les Autochtones ont peut-être habité ce site dès 8 000 av. J.-C. En 1833, l'immigra
Laura Wickett
Un patrimoine industriel à Jordan Harbour
Pour vous rendre là où se cache l’un des joyaux de Niagara, vous devez tout d’abord trouver une impasse où vous stationner à Jordan Station, puis emprunter un sentier envahi par les buissons jusqu’à un pont ferroviaire à chevalets en acier. Suivez-le au-de
MonOntario c'est...
MonOntario – Une vision au fil du temps visite des collectivités partout dans la province parce que nous voulons découvrir ce que l’Ontario signifie pour vous!
En 2017, nos stands interactifs et la tournée MonOntario seront sur place lors d’événements communautaires, dans les musées et ailleurs. I
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
Yannick Bisson (acteur et réalisateur, cinéma et télévision)
Renouer avec la nature
J’avais à peu près 8 ans lors de ma première visite en Ontario, à partir du Québec. Je me souviens très bien de l’arrivée en automobile par l’autoroute Don Valley. Baker Street de Gerry Rafferty jouait à la radio et j’étais complètement fasciné de voir autant de vastes espaces
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
David Rayside (professeur émérite de sciences politiques et directeur fondateur du Mark S. Bonham Centre for Sexual Diversity Studies, Université de Toronto)
Fait historique
À 18 h le 2 décembre 1986, l’Assemblée législative de l’Ontario devait se prononcer par vote sur l’ajout du terme « orientation sexuelle » au Code des droits de la personne de la province. Dix minutes auparavant, au collège de l’Université, je terminais un cours de fin d’après-midi
M. Margaret Froh (présidente de la Métis Nation of Ontario)
La ceinture fléchée des Métis
Il a récemment été demandé à Katelyn LaCroix, leader de la jeunesse métisse, ce que signifiait pour elle le fait d’être Métisse. Elle a répondu que [traduction] « comme la ceinture fléchée, nous sommes le point de rencontre de deux cultures, où se crée quelque chose d
Manuel Stevens (urbaniste retraité de Parcs Canada)
Remonter dans le temps à la découverte de l’ancien Ontario
L’Ontario que je connais correspond à la région du canal Rideau entre Smiths Falls et Kingston. À titre d’urbaniste du lieu historique national du Canal-Rideau pendant de nombreuses années, puis en qualité de propriétaire d’un cottage sur
Pamela
Le fleuve Saint-Laurent a toujours fait partie intégrante de Brockville. Pour la famille Fulford, qui a vécu dans la ville à partir du milieu du XIXe siècle, et qui a vu sa fortune augmenter de façon faramineuse après 1890 par suite de ses investissements dans les « pilules Pink pour personne pâle »
Christine McMullan (née Orlowski)
Dans les années 1920 et 1930, mon père, ses six frères et sœurs et ses parents quittaient Toronto pour effectuer des travaux saisonniers dans des fermes de la région de Vineland. Il se souvient d’une ferme en particulier, la ferme Culps de la rue John, où il était logé dans une petite cabane avec to
William "Liam" Wadsworth
Découvrir nos âmes oubliées
Pour moi, l'archéologie n'est pas simplement un chemin vers la découverte historique. Elle peut aussi être un instrument de recherche de la vérité et, au besoin, de la justice pour les peuples passés et actuels. Le désir de découvrir les histoires qui ne sont pas racont
Le chef Francis Pegahmagabow, 1889-1952
Francis Pegahmagabow, un Ojibwe du clan du caribou, est né au sein de la Première Nation de Shawanaga. Au début de la Première Guerre mondiale, il se porte volontaire pour servir outre-mer comme éclaireur et tireur d'élite auprès du 1er bataillon du Corps expéditionnaire canadien. Il est l'un des 39
Jeu de drapeaux du Royal Canadian Regiment (vers 1901-1906)
Autrefois utilisés à des fins pratiques comme point de ralliement sur un champ de bataille, les drapeaux régimentaires sont aujourd’hui exclusivement des objets cérémoniels qui représentent l’histoire et l’esprit d’un régiment.
Traditionnellement, les régiments d’infanterie canadiens ont deux drapeaux : le premier est le drapeau du monarque régnant portant le monogramme royal, et le second est le drapeau régimentaire portant les décorations illustrant les honneurs de bataille brodées sur des rouleaux. Les honneurs de bataille sont une reconnaissance officielle de l’engagement d’un régiment a
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Cet écusson appartenait à Bohdan Panchuk, un des Canadiens les plus influents qui aient participé aux efforts visant à réinstaller des milliers d’Ukrainiens déplacés par la Deuxième Guerre mondiale.
À la fin de ce conflit, un nombre incalculable de réfugiés avaient perdu leur foyer et faisaient fa
Holly Martelle (directrice chez Timmins Martelle Heritage Consultants Inc.)
Espoir en l’avenir
Mes journées d’archéologue se résument bien souvent à analyser minutieusement et systématiquement de petits fragments de la vie quotidienne, et ce, pendant des heures et des heures. L’an dernier, au cours d’une recherche archéologique en plein centre-ville de Toronto, nous avons
Trini Mitra
Un des moments les plus heureux de ma vie… lorsque maman m’a rendu visite en 2015 et qu’elle était ravie que je l’amène aux chutes Niagara à la mi novembre. C’était toute une expérience pour quelqu’un qui n’est pas habitué à nos températures glaciales de voir les chutes au milieu de l’hiver. Elle ét
Nathan Tidridge
La très belle Chapelle-de-Sa-Majesté @MohawkChapel – la plus vieille église protestante de #MonOntario. #ChapelRoyal
W. Kelly
Cette table et cette chaise appartenaient à ma grand-mère. Elle la tenait de son père, qui l’avait, ainsi que ses deux frères, amenée au Canada tout juste après la Première Guerre mondiale. Sa mère était morte en couches. Elle m’a montré les médailles de guerre de son père quand j’étais petit garçon
Michael Bliss, 1941-2017 (historien, auteur primé et professeur émérite, Université de Toronto)
Retour chez soi
La première fois que j’ai vu la rive du lac Canoe au camp Ahmek, dans le parc Algonquin, remonte à 1951. J’ai revu cette rive l’été dernier, 65 ans plus tard, et le paysage est demeuré intact, presque inchangé.
Des plaques évoquant les faits saillants de chaque été passé au camp
Ken Butland
Bon Echo
Vous voyez la pancarte – oh, vous y êtes;Bon Echo est un plaisir pour les yeux.
Des générations de familles font du campingAutour d’un feu et d’une lampe au propane.Elles rient et jouent, canotent et cuisinent,Ou se prélassent, la tête dans un bouquin.Les parents apprennent à leurs enfa
Oksana Kravets
Il y a des gens qui s’arrêtent pour respirer le parfum des roses. Certains se réveillent de bonne heure pour assister au lever du soleil. Mon père guette les orages.
Petite fille, je le voyais se lever aux premiers grondements du tonnerre, baisser le son de la télé et se placer devant la fenêtre.