L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Georges Quirion (architecte et ancien membre du conseil d’administration de la Fiducie du patrimoine ontarien)
La riche histoire industrielle de l’Ontario
Le Nord de l’Ontario possède des structures uniques, généralement méconnues, dispersées dans des petites communautés. Riches en histoire, elles constituent de précieuses ressources pour de nombreuses personnes du monde entier.
L’industrie minière, plus
Sam Steiner (rédacteur en chef de la Global Anabaptist Mennonite Encyclopedia Online et archiviste à la retraite des Mennonite Archives of Ontario)
Une nuée de témoins
En tant qu’historien du mennonisme en Ontario, j’ai toujours aimé errer dans les cimetières mennonites et amish. Ces lieux calment l’âme, qu’il s’agisse des cimetières modestes du Vieil Ordre (amish ou mennonite) comportant de simples stèles ou des cimetières mennonites assimil
Diane
« Je suis fière d’être Canadienne. Les petits villages et les petites villes sont très amicaux, mais j’ai aimé Toronto aussi. J’ai aimé le tramway et le métro; c’est facile d’aller partout. »
Diane est née à Orangeville (Ontario), où elle a vécu une bonne partie de sa vie.
Elle avait une sœur jumell
#MonOntario
Montrez-nous les trilles que vous avez vus
Le trille, fleur officielle de l’Ontario depuis 1937, fleurit à la mi-mai. Outre la variété blanche (grandiflorum), il en existe aussi des variétés rouge (erectum) et jaune (lutem). Cette photo d’un trille rouge a été prise dans la réserve naturelle du ru
Kathy Stinson (auteur de livres pour les jeunes)
Lorsque j'ai commencé à aller au chalet dont la famille de mon mari est propriétaire depuis plus d'une centaine d'années, j'ai adoré le sentiment de continuité que j'y ressentais, car cinq générations profitaient des traditions que le grand-père Gordon a établies au début des années 1900. Et l'endro
MonOntario c'est...
MonOntario – Une vision au fil du temps visite des collectivités partout dans la province parce que nous voulons découvrir ce que l’Ontario signifie pour vous!
En 2017, nos stands interactifs et la tournée MonOntario seront sur place lors d’événements communautaires, dans les musées et ailleurs. I
Extrait d’une entrevue à l’église Notre-Dame-de-Lorette à Wendake, Québec, avec Louis Lesage, biologiste, Ph. D., directeur du Bureau Nionwentsïo
Pourquoi est-il important de préserver la langue wendat?
La culture comporte de nombreuses dimensions. La langue en est une. Quand vous perdez votre langue, vous perdez une partie de votre culture. La langue vous aide à décrire votre environnement, à exprimer clairement ce que vous pensez, à colo
Centre des sciences de l'Ontario
Le Centre des sciences de l’Ontario se tisse une place dans l’histoire
Le Centre des sciences de l’Ontario est le fier propriétaire d’un métier à tisser Jacquard datant du XIXe siècle, qui utilise des chaînes de cartes perforées pour contrôler les mouvements de la machine. Essentiellement, la prés
Waubageshig
Récupérer le traîneau
C’est la mi avril. Mes trois frères – Michael, Tom et George – et moi, nous nous lançons des balles dehors sous le chaud soleil d’un après-midi de printemps. J’ai 11 ans, Michael en a 8, Tom 7 et George 6. Le soleil a été chaud toute la semaine et a fait disparaître la neige
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Ken Butland
Bon Echo
Vous voyez la pancarte – oh, vous y êtes;Bon Echo est un plaisir pour les yeux.
Des générations de familles font du campingAutour d’un feu et d’une lampe au propane.Elles rient et jouent, canotent et cuisinent,Ou se prélassent, la tête dans un bouquin.Les parents apprennent à leurs enfa
L'honorable David Onley (28e lieutenant-gouverneur de l’Ontario)
Réflexions sur les 150 ans de l’Ontario
Une photo a fait partie du patrimoine de notre famille. Elle représentait Sa Majesté la Reine à Kew Gardens dans le quartier The Beach, escortée par le propriétaire des Maple Leafs de Toronto, Conn Smythe, en une suffocante journée de juin 1959, en train de
Michael Bliss, 1941-2017 (historien, auteur primé et professeur émérite, Université de Toronto)
Retour chez soi
La première fois que j’ai vu la rive du lac Canoe au camp Ahmek, dans le parc Algonquin, remonte à 1951. J’ai revu cette rive l’été dernier, 65 ans plus tard, et le paysage est demeuré intact, presque inchangé.
Des plaques évoquant les faits saillants de chaque été passé au camp
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Shruthi Dhananjaya
Ayant été élevée à Toronto, j’ai de bons souvenirs de la zone riveraine de la ville. Au fil des années, j’ai visité le front du lac chaque été, et c’est une tradition que je conserve encore. C’est pour moi une oasis de calme en plein au cœur de la ville. J’aime marcher sur la promenade et regarder l
Philip Pritchard (vice-président et conservateur du centre de ressources, Temple de la renommée du hockey, et gardien de la coupe Stanley)
L’Ontario et la Coupe Stanley
Le hockey est le sport national du Canada, et qui dit hockey dit coupe Stanley. La coupe inspire un grand respect aux amateurs, joueurs, entraîneurs et directeurs d’équipe, et la tradition et l’aura qui l’entourent sont incomparables.
J’ai eu le privilège de voyager
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
Dawson Bridger
La photo de mon arrière-arrière-grand-père, Frederick Allen Weir, sur la page couverture du magazine Rod and Gun de 1913, établit un lien entre moi et un membre de la famille que je n'ai jamais connu. Elle a été prise près du parc provincial Rondeau, où ma famille vivait à l'époque. Frederick Weir,
Steven Beckly (artiste et ancien bénéficiaire du Programme des artistes en résidence Doris McCarthy)
Steven Beckly – artiste en arts visuels spécialiste de la photographie.
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
#MonOntario
Joignez-vous à la conversation à #MonOntario!
Depuis les vieux égoportraits pris dans les musées jusqu’aux clichés dignes d’Instagram – racontez des anecdotes et montrez vos photos de la province en utilisant le mot-clic #MonOntario sur les médias sociaux.
En panne d’inspiration? Explorez les pu
Jasmine Ouellette
Un endroit où nous accueillons et aidons tout le monde.
- Jasmine Ouellette, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Station de radio CFCL
Première station de radio française en Ontario, CFCL Timmins a commencé à diffuser des émissions en décembre 1951. Cet événement a été accueilli avec enthousiasme par les Franco-Ontariens qui, à l'époque, n'entendaient que rarement des émissions en français sur les ondes. La station mettait en valeu