L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
#MonOntario
Qu’est-ce qui vous donne la chair de poule à l’Halloween?
Des costumes effrayants aux maisons hantées, en passant par la chasse aux bonbons, faites-nous connaître les traditions qui vous font frémir juste d’y penser!
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Jeu de drapeaux du Royal Canadian Regiment (vers 1901-1906)
Autrefois utilisés à des fins pratiques comme point de ralliement sur un champ de bataille, les drapeaux régimentaires sont aujourd’hui exclusivement des objets cérémoniels qui représentent l’histoire et l’esprit d’un régiment.
Traditionnellement, les régiments d’infanterie canadiens ont deux drapeaux : le premier est le drapeau du monarque régnant portant le monogramme royal, et le second est le drapeau régimentaire portant les décorations illustrant les honneurs de bataille brodées sur des rouleaux. Les honneurs de bataille sont une reconnaissance officielle de l’engagement d’un régiment a
Sylvia
J’ai l’âme aventureuse; je suis née comme ça, c’est dans mes gènes (on m’appelle encore Ajala la voyageuse). Nous sommes déménagés au Canada en 2015, après avoir vécu dans quatre pays et avoir voyagé dans une vingtaine… et ce n’est pas fini. Nous ne connaissions pas grand-chose du Canada avant de dé
John Steckley
Mon histoire du côté des Brodie
En 1835, un gamin écossais de neuf ans appelé Alexander Brodie, qui venait de Peterhead, dans le nord-est de l’Écosse, est arrivé par navire et par bateau dans le sud de l’Ontario. Lui et sa famille ont passé leur première année rue Lot (maintenant, la rue Queen),
Eleanor McMahon (ministre du Tourisme, de la Culture et du Sport de l'Ontario)
« A Place to Stand »
En qualité de ministre du Tourisme, de la Culture et du Sport, j’ai eu le privilège de rencontrer un grand nombre de citoyens fiers, talentueux et travailleurs, à plusieurs activités et événements spéciaux auxquels j’ai participé. Une de ces rencontres m’a particulièrement frapp
Rozyur Rahman
J’aime l’Ontario parce que nous pouvons faire des randonnées dans ses nombreuses forêts. Je peux jouer dans les parcs et les terrains de jeu.
- Rozyur Rahman, Centre des sciences de l'Ontario, le 21 juillet 2017
Paul Dempsey
L’été dernier, ma fille a déménagé en dehors de la province et nous avons chargé son auto et commencé la traversée du nord de l’Ontario. J’ai vécu toute ma vie en Ontario et la province a toujours été mon foyer. J’ai grandi dans le sud de l’Ontario et ma famille a fait bien des excursions de camping
Trini Mitra
Un des moments les plus heureux de ma vie… lorsque maman m’a rendu visite en 2015 et qu’elle était ravie que je l’amène aux chutes Niagara à la mi novembre. C’était toute une expérience pour quelqu’un qui n’est pas habitué à nos températures glaciales de voir les chutes au milieu de l’hiver. Elle ét
Don Pearson
On ne peut pas penser à l’Ontario sans avoir l’eau à l’esprit en toile de fond, qu’il s’agisse de celle des Grands Lacs, qui définissent sa frontière méridionale, ou des magnifiques rivières qui drainent sa vaste étendue et des milliers de lacs éparpillés dans le Bouclier canadien. Le nom « Ontario
Patricia
Un air de mystère entoure la photo prise par Simone Rusu du 401, rue Richmond Ouest – un édifice industriel patrimonial devenu un centre artistique et culturel – à Toronto. Cette photo a été prise pendant Portes Ouvertes Ontario 2017, pour le deuxième atelier du Programme de photo pour les jeunes du
Holly Martelle (directrice chez Timmins Martelle Heritage Consultants Inc.)
Espoir en l’avenir
Mes journées d’archéologue se résument bien souvent à analyser minutieusement et systématiquement de petits fragments de la vie quotidienne, et ce, pendant des heures et des heures. L’an dernier, au cours d’une recherche archéologique en plein centre-ville de Toronto, nous avons
Kevin Mannara (scolastique basilien (séminariste), paroisse catholique Our Lady of Assumption/Notre-Dame de l’Assomption, Windsor)
Ce qui était et ce qui sera
Le terme symbolkirchen pourrait approximativement être traduit comme une « église porteuse de symboles ». De telles églises évoquent des réalités qui nous dépassent. Elles ont le pouvoir de servir de pont pour relier ce qui a été et ce qui peut advenir en transcendant q
Philip Pritchard (vice-président et conservateur du centre de ressources, Temple de la renommée du hockey, et gardien de la coupe Stanley)
L’Ontario et la Coupe Stanley
Le hockey est le sport national du Canada, et qui dit hockey dit coupe Stanley. La coupe inspire un grand respect aux amateurs, joueurs, entraîneurs et directeurs d’équipe, et la tradition et l’aura qui l’entourent sont incomparables.
J’ai eu le privilège de voyager
Karolyn Smardz Frost (archéologue, historienne et auteure primée)
À la recherche de la terre promise
En 1985, le Conseil scolaire de Toronto et le ministère de la Culture de l’Ontario ont mis sur pied un centre de ressources archéologiques. Des écoliers et des bénévoles pouvaient y creuser le passé de leur ville et explorer les artefacts des différentes cultures
Andrew Riddle (associé chez ASI)
Pendant des millénaires, la rivière Grand, qui relie de grandes étendues des terres du Golden Horseshoe au lac Érié, a servi de route aux gens des Premières Nations du sud de l’Ontario. Les rives de la rivière Grand ont parfois été qualifiées de long site archéologique, ce qui s’est assurément avéré
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Beth Hanna (directrice générale, Fiducie du patrimoine ontarien)
L’Ontario compte des esprits immensément créatifs. Les mots de Thomas King, d’Alice Munro, de Michael Ondaatje et d’Al Purdy. La musique de Glenn Gould, de Gordon Lightfoot, de la Nathaniel Dett Chorale et de Sarah Harmer. Les tableaux de Norval Morrisseau, de Doris McCarthy, d’A.Y. Jackson, de Daph
Sam
Disques de Gordon Lightfoot
Chaque fois que je me trouve à un marché aux puces ou à une vente-débarras, après avoir jeté un coup d'œil à des articles de sport qui ont connu des jours meilleurs, je vais directement aux caisses de lait pleines de vieux disques qui sentent le moisi. Parmi les inévitabl