L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Michael Runtz (professeur, naturaliste, auteur et photographe)
Répondre à l’appel d’Algonquin
Naturaliste de longue date, désireux d’explorer l’histoire naturelle de l’Ontario, j’ai été à même d’apprécier à quel point la biodiversité de cette province est riche. Le Nord possède la toundra la plus méridionale au monde, que fréquentent l’ours polaire et le rena
Beth Hanna (directrice générale, Fiducie du patrimoine ontarien)
L’Ontario compte des esprits immensément créatifs. Les mots de Thomas King, d’Alice Munro, de Michael Ondaatje et d’Al Purdy. La musique de Glenn Gould, de Gordon Lightfoot, de la Nathaniel Dett Chorale et de Sarah Harmer. Les tableaux de Norval Morrisseau, de Doris McCarthy, d’A.Y. Jackson, de Daph
Amanda J. Ferry
Toutes les différentes cultures qui sont les bienvenues ici.
- Amanda J. Ferry, jour de l'émancipation, Site historique de la Case de l'oncle Tom, le 5 août 2017
L’honorable Elizabeth Dowdeswell (29e lieutenante-gouverneure de l’Ontario)
La conscience de notre province
L’édifice de l’Assemblée législative de l’Ontario, achevé en 1893, est une magnifique structure imprégnée des récits des moments les plus marquants de l’histoire moderne de notre province. C’est un lieu riche en traditions, dont l’une figure parmi les plus récentes
Musée de la Niagara Historical Society
Niagara-on-the-Lake est une des rares villes de l’Ontario où il y a des Noirs depuis le début de la province. C’est toutefois au cours des années qui ont suivi la Guerre de 1812 que le nombre d’immigrants noirs et d’esclaves en fuite a augmenté à Niagara. Après l’adoption de la loi américaine de 185
Gabriela Iglecias
Chez moi, avec ma communauté!
- Gabriela Iglecias – Journée nationale des Autochtones au lieu historique national Fort York – 21 juin 2017
Nathan Tidridge
La très belle Chapelle-de-Sa-Majesté @MohawkChapel – la plus vieille église protestante de #MonOntario. #ChapelRoyal
Sara Waxman
Soupe Saxe-Cobourg
La charmante ville de Cobourg, sur le lac Ontario, est un lieu de rendez-vous des visiteurs à longueur d’année. C’est un endroit très agréable où passer la journée. En 1819, en l’honneur du mariage de la princesse Charlotte au prince Léopold de Saxe-Cobourg, la ville, qui s’app
S. Carlyle
En 1998, j’ai fait mes bagages et je suis déménagé en Ontario pour commencer une nouvelle vie dans ce que je considérais comme une terre étrangère. J’ai vite découvert que les deux côtés de ma famille ont de profondes racines en Ontario… une chose souvent dure à admettre pour quelqu’un qui est origi
Laura Wickett
Un patrimoine industriel à Jordan Harbour
Pour vous rendre là où se cache l’un des joyaux de Niagara, vous devez tout d’abord trouver une impasse où vous stationner à Jordan Station, puis emprunter un sentier envahi par les buissons jusqu’à un pont ferroviaire à chevalets en acier. Suivez-le au-de
William "Liam" Wadsworth
Découvrir nos âmes oubliées
Pour moi, l'archéologie n'est pas simplement un chemin vers la découverte historique. Elle peut aussi être un instrument de recherche de la vérité et, au besoin, de la justice pour les peuples passés et actuels. Le désir de découvrir les histoires qui ne sont pas racont
Desiree Laporte
L'acceptation de TOUS.
- Desiree Laporte, Festival Canuck It Up Amherstburg, centre ville d'Amherstburg, le 6 août 2017
Jim Szilva (auteur et fils de Ted Szilva, créateur du projet Big Nickel)
Une pièce de cinq cents et une prière
En 1963, un pompier nommé Ted Szilva s’inscrivait à un concours organisé par le Comité du centenaire du Canada à Sudbury. Le comité avait demandé aux résidants de la ville de trouver un moyen original de souligner et de marquer le centenaire du Canada à Sudbur
Cades McKenna
Les chutes Rainbow, les lacs, les forêts, la baignade, faire du patin à roues alignées, les randonnées pédestres.
- Cades McKenna, Bay and Algoma Buskers Festival, Thunder Bay, le 30 juillet 2017
Christopher Wai
L’archéologie occupe une place importante dans ma vie depuis qu’à l’âge de 16 ans j’ai participé au cours sur le terrain à l’intention des élèves du secondaire de l’école Boyd, de l’Office de protection de la nature de Toronto et de la région (TRCA), mais mon intérêt pour cette science date de plus
Katherine Low
La maison de la rue Drake
Au numéro 3. Bâtie en 1876, cette maison a été témoin de bien des changements et en a connu beaucoup; elle n’est pas tout à fait la même maintenant, mais je pense qu’elle est pas mal du tout pour ses 141 ans.
Lorsque mes parents l’ont achetée pour y loger leurs deux to
Arlene Chan (historienne et auteur)
La porte de l’Ontario
Le quartier chinois Est de Toronto a une
magnifique porte d’entrée, qui témoigne d’une tradition architecturale
chinoise lancée en Colombie-Britannique dans les années 1880.
Comme auteure et historienne du quartier chinois, je trouve une
source d’inspiration dans le
Site historique de la Case de l’oncle Tom
Chaises berçantes en noyer noir ornées de sculptures ouvragées dans la tradition de l’art populaire, trouvées dans la région de Dresden, 3e quart du XIXe siècle. Il existe plusieurs chaises semblables provenant de la même région, dont trois dans la collection du site historique de la Case de l’oncle
Michael Bliss, 1941-2017 (historien, auteur primé et professeur émérite, Université de Toronto)
Retour chez soi
La première fois que j’ai vu la rive du lac Canoe au camp Ahmek, dans le parc Algonquin, remonte à 1951. J’ai revu cette rive l’été dernier, 65 ans plus tard, et le paysage est demeuré intact, presque inchangé.
Des plaques évoquant les faits saillants de chaque été passé au camp
Steve Paikin (présentateur, « The Agenda with Steve Paikin » à TVOntario)
Le paradis sur terre
Un mois avant que l’Ontario souffle ses 150 bougies, je fêterai mon 57e anniversaire. Toutes ces années, je les ai vécues en Ontario (sauf une), toujours dans de grandes villes. Mais le paysage que je préfère entre tous dans notre province est un endroit où je ne passe que que
Larry Wayne Richards (ancien membre du conseil de la Fiducie, professeur émérite et ancien doyen de la faculté d’architecture, du paysage et du design John H. Daniels, Université de Toronto)
Les trains de l’Ontario
Mes premiers souvenirs visuels de l’Ontario, je les tiens d’un train de voyageurs il y a 45 ans. En 1972, j’ai franchi la frontière à Detroit et pris le train de Windsor à Toronto. De ma fenêtre, j’appréciais le paysage du Sud-Ouest de l’Ontario, le vert ondoyant des terres
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Sam Steiner (rédacteur en chef de la Global Anabaptist Mennonite Encyclopedia Online et archiviste à la retraite des Mennonite Archives of Ontario)
Une nuée de témoins
En tant qu’historien du mennonisme en Ontario, j’ai toujours aimé errer dans les cimetières mennonites et amish. Ces lieux calment l’âme, qu’il s’agisse des cimetières modestes du Vieil Ordre (amish ou mennonite) comportant de simples stèles ou des cimetières mennonites assimil
L'honorable James Bartleman (27e lieutenant-gouverneur de l’Ontario)
Mon Muskoka – hiver 1949
Chaque soir quand j’étais enfant, dans les années 1940, je plaçais les grosses billes de bois sur le banc de scie et, à l’aide d’une petite scie à bûches je les coupais en longueurs adaptées à l’âtre du poêle et, par la suite, je refendais les grosses bûches en morceaux pl