L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Stephen Otto
Un sentiment d’appartenance m’habite lorsque je marche dans la rue principale de presque toutes les petites villes de l’Ontario où bon nombre des édifices datent de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe. Ce sentiment vient en partie de ce que la Fondation du patrimoine ontarien [maintenant, la Fi
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Musée de la Niagara Historical Society
Niagara-on-the-Lake est une des rares villes de l’Ontario où il y a des Noirs depuis le début de la province. C’est toutefois au cours des années qui ont suivi la Guerre de 1812 que le nombre d’immigrants noirs et d’esclaves en fuite a augmenté à Niagara. Après l’adoption de la loi américaine de 185
C.A.M.
L’amour est la chose la plus importante au monde, mais le base-ball n’est pas mal non plus –Yogi Berra
Le blondinet que j’étais en 1977 a eu le plaisir d’assister à sa première partie de base-ball des Blue Jays de Toronto avec son père. Aujourd’hui encore, je me souviens des sons, des odeurs et de
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen
Litsa Tsouluhas
J’adore Toronto parce qu’elle célèbre la diversité. C’est unique, pas seulement au Canada, mais aussi dans le monde.
L’Ontario signifie les Grands Lacs.
L’Ontario fait un effort pour réparer les torts d’un passé de colonisateurs.
- Litsa Tsouluhas – Journée nationale des Autochtones au lieu
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Steve Paikin (présentateur, « The Agenda with Steve Paikin » à TVOntario)
Le paradis sur terre
Un mois avant que l’Ontario souffle ses 150 bougies, je fêterai mon 57e anniversaire. Toutes ces années, je les ai vécues en Ontario (sauf une), toujours dans de grandes villes. Mais le paysage que je préfère entre tous dans notre province est un endroit où je ne passe que que
Deepa Mehta (réalisatrice, productrice et scénariste)
La riche diversité de l’Ontario
Quand je pense à l’Ontario, c’est l’inclusion et la diversité, et la richesse qui en résulte pour notre province, qui me viennent en tête. Dans un monde en proie à une xénophobie alarmante et à une dynamique nativiste, nous sommes, à mon avis, un refuge pour l’« aut
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Henie Frances
J'ai rencontré mon mari à la fin du mois de mars 1964. J'avais 17 ans, j'étais en 13e année et j’étais en mission de relations publiques de trois jours dans le cadre d'un congrès dans un hôtel du centre-ville de Toronto, où il était responsable des ventes pour l'événement. Il m'a invitée à sortir et
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
Jasmine Ouellette
Un endroit où nous accueillons et aidons tout le monde.
- Jasmine Ouellette, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Nathan Tidridge
Tabac poussant pour la chapelle de Sa Majesté #ChapelRoyal au Collège Massey de #Toronto. #MonOntario
Steven Beckly (artiste et ancien bénéficiaire du Programme des artistes en résidence Doris McCarthy)
Steven Beckly – artiste en arts visuels spécialiste de la photographie.
Rozyur Rahman
J’aime l’Ontario parce que nous pouvons faire des randonnées dans ses nombreuses forêts. Je peux jouer dans les parcs et les terrains de jeu.
- Rozyur Rahman, Centre des sciences de l'Ontario, le 21 juillet 2017
Yannick Bisson (acteur et réalisateur, cinéma et télévision)
Renouer avec la nature
J’avais à peu près 8 ans lors de ma première visite en Ontario, à partir du Québec. Je me souviens très bien de l’arrivée en automobile par l’autoroute Don Valley. Baker Street de Gerry Rafferty jouait à la radio et j’étais complètement fasciné de voir autant de vastes espaces
David P. Silcox (auteur, éducateur, administrateur culturel et défenseur des arts)
MON ONTARIO, C’EST :
RosalieAbella, RobertAitken, AndréAlexis, LouApplebaum, MargaretAtwood, IainBaxter&, StanBevington, BillBissett, JeanBoggs, DaveBroadfoot, EdBurtynsky, JackBush, JackCostello, DavidCrombie, KikiDelaney, LouiseDennys, MichaeldePencier, RamsayDerry, RupertDuchesne, BuddFeheley
Jim Szilva (auteur et fils de Ted Szilva, créateur du projet Big Nickel)
Une pièce de cinq cents et une prière
En 1963, un pompier nommé Ted Szilva s’inscrivait à un concours organisé par le Comité du centenaire du Canada à Sudbury. Le comité avait demandé aux résidants de la ville de trouver un moyen original de souligner et de marquer le centenaire du Canada à Sudbur