L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
#MonOntario
Qu’est-ce qui vous donne la chair de poule à l’Halloween?
Des costumes effrayants aux maisons hantées, en passant par la chasse aux bonbons, faites-nous connaître les traditions qui vous font frémir juste d’y penser!
Participez à la conversation sur les médias sociaux : Explorez les billets de #
Lazzelle Gelias
Mon foyer se trouve sur les TERRES AUTOCHTONES!!
Megweetch!
- Lazzelle Gelias − Journée nationale des Autochtones au lieu historique national Fort York – 21 juin 2017
Oksana Kravets
Il y a des gens qui s’arrêtent pour respirer le parfum des roses. Certains se réveillent de bonne heure pour assister au lever du soleil. Mon père guette les orages.
Petite fille, je le voyais se lever aux premiers grondements du tonnerre, baisser le son de la télé et se placer devant la fenêtre.
Joseph Desloges (professeur aux départements des sciences de la terre et de la géographie, Collège Woodsworth, Université de Toronto)
Célébration des badlands de Chinguacousy
Des centaines de milliers d’Ontariennes et d’Ontariens ont visité les badlands de Chinguacousy – ou terre des jeunes pins. Ce substrat rocheux en argile-schiste en proie à une érosion rapide se situe au pied de l’escarpement du Niagara. Il s’agit d’un éléme
Erin S.
J’ai grandi à LaSalle dans les années 1980, et nous prenions alors plusieurs fois chaque été le traversier pour l’île Boblo. Une partie de cette île, qui est située dans la rivière Detroit en face d’Amherstburg, a été un parc d’attractions du début du XXe siècle à sa fermeture en 1993.
Il y a que
#MonOntario
Choisissez votre aventure
Des lieux historiques aux curiosités touristiques, des festivals aux sentiers de randonnée, il y a tant de choses à voir et à faire dans votre propre arrière-cour. Racontez-nous comment vous préférez découvrir la province!
Joignez-vous à la conversation sur les médias s
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Susan Bryan (présidente bénévole du Nature Reserves Committee des Thunder Bay Field Naturalists)
Quelqu’un est passé par ici avant nous
Je me tiens sur le pont d’un petit bateau, affrontant les houles de la rivière Nipigon, là où elle s’élargit pour former le lac Supérieur. Devant moi, une falaise rocheuse se dresse hors de l’eau. Sa paroi montre une série de pictogrammes (lignes, cercles et
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
#MonOntario
Joignez-vous à la conversation à #MonOntario!
Depuis les vieux égoportraits pris dans les musées jusqu’aux clichés dignes d’Instagram – racontez des anecdotes et montrez vos photos de la province en utilisant le mot-clic #MonOntario sur les médias sociaux.
En panne d’inspiration? Explorez les pu
Ellen Scheinberg (auteure et présidente, Heritage Professionals/Archives)
Souligner l’histoire des cimetières juifs de Toronto
J’ai développé une passion pour les cimetières ces dix dernières années. Tout cela a commencé à l’époque où j’étais directrice des Archives juives de l’Ontario, quand j’ai organisé une visite du cimetière de l’avenue Pape avec l’artiste locale Sus
Le « Paradis d'une folle »
Cette propriété surplombe les falaises de Scarborough, écosensibles et géologiquement importantes, qui présentent des sédiments laissés par des glaciers pendant 70 000 ans, lors de la dernière période du Pléistocène. Les Autochtones ont peut-être habité ce site dès 8 000 av. J.-C. En 1833, l'immigra
Konrad Sioui (ancien grand chef de la Nation huronne-wendat)
Le cœur de l’Amérique du Nord
Nombreuses sont les histoires que nous pouvons raconter. Pensons en tout premier lieu à celle du mot « Ontario », dont bien des gens ignorent la signification, avançant différentes explications. Il faut savoir que, dans la langue huronne « io » est un superlatif et «
Nathan Tidridge
Les habitants de #Waterdown réservent leur place pour la parade du père Noël de Flamborough qui aura lieu plus tard dans la journée. #MonOntario
Alphonse Tourville
Élevé en Ontario, nation crie d’Attawapiskat, survivant des pensionnats, j’ai parcouru le Canada, je vis à Terre-Neuve, mon nouveau foyer depuis 30 ans, mais rien ne supprime le désir de nombreuses visites.
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen
Gordon Pim
En souvenir de Ruby
Certains de mes plus précieux souvenirs d’enfance ont trait à ma grand-mère. Immigrante du Royaume-Uni arrivée en Ontario en 1921 (avec sa meilleure amie, Sadie, et 45 $ en poche), Ruby était d’une stature minuscule, mais d’une formidable force de caractère. Je me souviens d’el
Luigi
Originaire de Valdagno (Italie)
« Vous pouvez vous faire une vie au Canada. J’ai travaillé fort et j’ai bâti un commerce d’alimentation spécialisé dans les produits pour les acheteurs italiens. Je n’ai jamais manqué de travail ici. »
Luigi a grandi dans l’Italie de Mussolini. Il a été obligé de qu
Scarlett Janusas (présidente, Scarlett Janusas Archaeology Inc.)
L’archéologie sous-marine
« Dans 20 ans, vous regretterez davantage les choses que vous n’avez pas faites que celles que vous avez faites. Alors, larguez les amarres. Mettez les voiles et sortez du port ô combien sécurisant. Explorez. Rêvez. Découvrez. » – Mark Twain, auteur américain
J’ai touj
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Cet écusson appartenait à Bohdan Panchuk, un des Canadiens les plus influents qui aient participé aux efforts visant à réinstaller des milliers d’Ukrainiens déplacés par la Deuxième Guerre mondiale.
À la fin de ce conflit, un nombre incalculable de réfugiés avaient perdu leur foyer et faisaient fa
Christopher Wai
L’archéologie occupe une place importante dans ma vie depuis qu’à l’âge de 16 ans j’ai participé au cours sur le terrain à l’intention des élèves du secondaire de l’école Boyd, de l’Office de protection de la nature de Toronto et de la région (TRCA), mais mon intérêt pour cette science date de plus
Charlie Fairbank (arrière-petit-fils de John Henry Fairbank, pionnier d’Oil Springs)
Un paysage qui demeure
Chaque matin, j’ouvre la porte de notre maison de ferme et je me retrouve dans un paysage immuable de beauté, façonné par le travail de l’homme et des chevaux. Dans les champs, au loin, les taches blanches des moutons; souvent, un cerf bondit dans le lointain et au-dessus de