L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Sam Steiner (rédacteur en chef de la Global Anabaptist Mennonite Encyclopedia Online et archiviste à la retraite des Mennonite Archives of Ontario)
Une nuée de témoins
En tant qu’historien du mennonisme en Ontario, j’ai toujours aimé errer dans les cimetières mennonites et amish. Ces lieux calment l’âme, qu’il s’agisse des cimetières modestes du Vieil Ordre (amish ou mennonite) comportant de simples stèles ou des cimetières mennonites assimil
David P. Silcox (auteur, éducateur, administrateur culturel et défenseur des arts)
MON ONTARIO, C’EST :
RosalieAbella, RobertAitken, AndréAlexis, LouApplebaum, MargaretAtwood, IainBaxter&, StanBevington, BillBissett, JeanBoggs, DaveBroadfoot, EdBurtynsky, JackBush, JackCostello, DavidCrombie, KikiDelaney, LouiseDennys, MichaeldePencier, RamsayDerry, RupertDuchesne, BuddFeheley
Sean Fraser
Le ravin
Résistant au quadrillage des ingénieurs coloniaux, sculpté sans relâche dans le haut plateau par un très ancien ruisseau, ses eaux ensevelies se fraient un chemin jusqu'au Don et de là jusqu'au lac. Sur ses rives, un kaléidoscope de fleurs sauvages, de bourgeons, de feuilles et de débris
Lazzelle Gelias
Mon foyer se trouve sur les TERRES AUTOCHTONES!!
Megweetch!
- Lazzelle Gelias − Journée nationale des Autochtones au lieu historique national Fort York – 21 juin 2017
Pauline McGibbon 1910-2001
Première femme à occuper une fonction vice-royale au Canada, Pauline Emily Mills est née à Sarnia, en Ontario, en 1910. Après avoir fait ses études primaires et secondaires dans les écoles locales et obtenu un diplôme du Collège Victoria à l'Université de Toronto, elle épousa Donald Walker McGibbon
Shruthi Dhananjaya
Ayant été élevée à Toronto, j’ai de bons souvenirs de la zone riveraine de la ville. Au fil des années, j’ai visité le front du lac chaque été, et c’est une tradition que je conserve encore. C’est pour moi une oasis de calme en plein au cœur de la ville. J’aime marcher sur la promenade et regarder l
Nathan Tidridge
En train d’admirer les reflets du soleil couchant sur le lac Buck, Muskoka. #MonOntario
D’après une entrevue avec Josephine Mandamin (grand-mère et récipiendaire d’un Prix du lieutenant-gouverneur pour les réalisations en matière de conservation du patrimoine ontarien en 2015)
Marcher près de l’eau
Lorsque nous sommes en harmonie avec l’eau, nous prions pour elle. L’eau que nous portons, nous prions pour elle et nous la prions; nous lui parlons. Nos esprits et nos cœurs sont avec l’eau que nous portons. L’eau est très précieuse. Nous l’avons adoptée. Nous l’avons recuei
Nathan Tidridge
Les habitants de #Waterdown réservent leur place pour la parade du père Noël de Flamborough qui aura lieu plus tard dans la journée. #MonOntario
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Voici le passeport temporaire d’Arthur Schönberg, un ingénieur naval estonien qui a bravé la haute mer pour se faire une nouvelle vie au Canada. Bien que je n’aie jamais rencontré M. Schönberg, la Société d’histoire multiculturelle de l’Ontario a préservé son histoire sur bande audio.
Arthur Schön
Rozyur Rahman
J’aime l’Ontario parce que nous pouvons faire des randonnées dans ses nombreuses forêts. Je peux jouer dans les parcs et les terrains de jeu.
- Rozyur Rahman, Centre des sciences de l'Ontario, le 21 juillet 2017
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
#MonOntario
Quel est votre souvenir le plus cher des foires d’automne?
Est-ce que c’était vous faire virevolter dans un manège étourdissant? Ou rapporter un ruban à la maison? Ou déguster les gâteries du temps des récoltes? Partagez vos moments préférés vécus durant les foires automnales avec nous!
Particip
Joëlle Roy (auteure, compositrice-interprète et animatrice communautaire)
Descendants de la Vallée du Saint-Laurent
Il est parti au chantierY avait à peine 15 ansY a moyen de s’en sortirPour ça, faut faire d’l’argentY en a en Ontario sous la muck dans les minesParlait anglais comme un froTraité comme un mangeux d’binesM’a t’en faireIl s’est pas laissé faire
Mon père a
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Litsa Tsouluhas
J’adore Toronto parce qu’elle célèbre la diversité. C’est unique, pas seulement au Canada, mais aussi dans le monde.
L’Ontario signifie les Grands Lacs.
L’Ontario fait un effort pour réparer les torts d’un passé de colonisateurs.
- Litsa Tsouluhas – Journée nationale des Autochtones au lieu
Henie Frances
J'ai rencontré mon mari à la fin du mois de mars 1964. J'avais 17 ans, j'étais en 13e année et j’étais en mission de relations publiques de trois jours dans le cadre d'un congrès dans un hôtel du centre-ville de Toronto, où il était responsable des ventes pour l'événement. Il m'a invitée à sortir et
Kathy Stinson (auteur de livres pour les jeunes)
Lorsque j'ai commencé à aller au chalet dont la famille de mon mari est propriétaire depuis plus d'une centaine d'années, j'ai adoré le sentiment de continuité que j'y ressentais, car cinq générations profitaient des traditions que le grand-père Gordon a établies au début des années 1900. Et l'endro
Jeanette Elliott, coordonnatrice des collections, village des pionniers Fanshawe
Cet uniforme du Corps du service agricole fait partie de la collection permanente du village des pionniers Fanshawe; il nous rappelle que les hommes n'ont pas été les seuls à participer à la Première Guerre mondiale. Les femmes ne pouvaient pas y prendre part directement en tant que combattantes, ma
Pamela
Le fleuve Saint-Laurent a toujours fait partie intégrante de Brockville. Pour la famille Fulford, qui a vécu dans la ville à partir du milieu du XIXe siècle, et qui a vu sa fortune augmenter de façon faramineuse après 1890 par suite de ses investissements dans les « pilules Pink pour personne pâle »
Diane Denyes-Wenn, conservatrice
Maison-musée de la famille Rose
... une petite maison de loyalistes qui survit depuis les années 1790 après avoir abrité sept générations de la famille Rose, des quakers ayant fui les États-Unis après la Révolution américaine. De nombreux artefacts qui ont été utilisés au cours de l’histoire de la m
S. Carlyle
En 1998, j’ai fait mes bagages et je suis déménagé en Ontario pour commencer une nouvelle vie dans ce que je considérais comme une terre étrangère. J’ai vite découvert que les deux côtés de ma famille ont de profondes racines en Ontario… une chose souvent dure à admettre pour quelqu’un qui est origi
Deepa Mehta (réalisatrice, productrice et scénariste)
La riche diversité de l’Ontario
Quand je pense à l’Ontario, c’est l’inclusion et la diversité, et la richesse qui en résulte pour notre province, qui me viennent en tête. Dans un monde en proie à une xénophobie alarmante et à une dynamique nativiste, nous sommes, à mon avis, un refuge pour l’« aut
Jeu de drapeaux du Royal Canadian Regiment (vers 1901-1906)
Autrefois utilisés à des fins pratiques comme point de ralliement sur un champ de bataille, les drapeaux régimentaires sont aujourd’hui exclusivement des objets cérémoniels qui représentent l’histoire et l’esprit d’un régiment.
Traditionnellement, les régiments d’infanterie canadiens ont deux drapeaux : le premier est le drapeau du monarque régnant portant le monogramme royal, et le second est le drapeau régimentaire portant les décorations illustrant les honneurs de bataille brodées sur des rouleaux. Les honneurs de bataille sont une reconnaissance officielle de l’engagement d’un régiment a
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen