L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
W. Kelly
Cette table et cette chaise appartenaient à ma grand-mère. Elle la tenait de son père, qui l’avait, ainsi que ses deux frères, amenée au Canada tout juste après la Première Guerre mondiale. Sa mère était morte en couches. Elle m’a montré les médailles de guerre de son père quand j’étais petit garçon
Beth Hanna (directrice générale, Fiducie du patrimoine ontarien)
L’Ontario compte des esprits immensément créatifs. Les mots de Thomas King, d’Alice Munro, de Michael Ondaatje et d’Al Purdy. La musique de Glenn Gould, de Gordon Lightfoot, de la Nathaniel Dett Chorale et de Sarah Harmer. Les tableaux de Norval Morrisseau, de Doris McCarthy, d’A.Y. Jackson, de Daph
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Voici le passeport temporaire d’Arthur Schönberg, un ingénieur naval estonien qui a bravé la haute mer pour se faire une nouvelle vie au Canada. Bien que je n’aie jamais rencontré M. Schönberg, la Société d’histoire multiculturelle de l’Ontario a préservé son histoire sur bande audio.
Arthur Schön
Lynne D. DiStefano
Au fil de la « Tamise » ontarienne
Au milieu des années 1990, George Kapelos et moi, nous avons commencé à travailler à une exposition sur la rivière Thames (la « Tamise » ontarienne) qui allait avoir lieu au musée de London.
Je ne me souviens pas quand exactement la rivière a commencé à me fascin
Rozyur Rahman
J’aime l’Ontario parce que nous pouvons faire des randonnées dans ses nombreuses forêts. Je peux jouer dans les parcs et les terrains de jeu.
- Rozyur Rahman, Centre des sciences de l'Ontario, le 21 juillet 2017
Karin Almuhtadi
Mon chez-moi ♥
- Karin Almuhtadi, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Nathan Tidridge
Les habitants de #Waterdown réservent leur place pour la parade du père Noël de Flamborough qui aura lieu plus tard dans la journée. #MonOntario
#MonOntario
Quel est votre souvenir le plus cher des foires d’automne?
Est-ce que c’était vous faire virevolter dans un manège étourdissant? Ou rapporter un ruban à la maison? Ou déguster les gâteries du temps des récoltes? Partagez vos moments préférés vécus durant les foires automnales avec nous!
Particip
Christine McMullan (née Orlowski)
Dans les années 1920 et 1930, mon père, ses six frères et sœurs et ses parents quittaient Toronto pour effectuer des travaux saisonniers dans des fermes de la région de Vineland. Il se souvient d’une ferme en particulier, la ferme Culps de la rue John, où il était logé dans une petite cabane avec to
Nathan Tidridge
Tabac poussant pour la chapelle de Sa Majesté #ChapelRoyal au Collège Massey de #Toronto. #MonOntario
Le chef Francis Pegahmagabow, 1889-1952
Francis Pegahmagabow, un Ojibwe du clan du caribou, est né au sein de la Première Nation de Shawanaga. Au début de la Première Guerre mondiale, il se porte volontaire pour servir outre-mer comme éclaireur et tireur d'élite auprès du 1er bataillon du Corps expéditionnaire canadien. Il est l'un des 39
Joëlle Roy (auteure, compositrice-interprète et animatrice communautaire)
Descendants de la Vallée du Saint-Laurent
Il est parti au chantierY avait à peine 15 ansY a moyen de s’en sortirPour ça, faut faire d’l’argentY en a en Ontario sous la muck dans les minesParlait anglais comme un froTraité comme un mangeux d’binesM’a t’en faireIl s’est pas laissé faire
Mon père a
Jasmine Ouellette
Un endroit où nous accueillons et aidons tout le monde.
- Jasmine Ouellette, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Cameron Ylimaki
Fierté et bonheur.
- Cameron Ylimaki, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 29 juillet 2017
Steve Paikin (présentateur, « The Agenda with Steve Paikin » à TVOntario)
Le paradis sur terre
Un mois avant que l’Ontario souffle ses 150 bougies, je fêterai mon 57e anniversaire. Toutes ces années, je les ai vécues en Ontario (sauf une), toujours dans de grandes villes. Mais le paysage que je préfère entre tous dans notre province est un endroit où je ne passe que que
Patricia
Un air de mystère entoure la photo prise par Simone Rusu du 401, rue Richmond Ouest – un édifice industriel patrimonial devenu un centre artistique et culturel – à Toronto. Cette photo a été prise pendant Portes Ouvertes Ontario 2017, pour le deuxième atelier du Programme de photo pour les jeunes du
Michael Bliss, 1941-2017 (historien, auteur primé et professeur émérite, Université de Toronto)
Retour chez soi
La première fois que j’ai vu la rive du lac Canoe au camp Ahmek, dans le parc Algonquin, remonte à 1951. J’ai revu cette rive l’été dernier, 65 ans plus tard, et le paysage est demeuré intact, presque inchangé.
Des plaques évoquant les faits saillants de chaque été passé au camp
Lorraine Watson
Beau et grand.
- Lorraine Watson, Festival Canuck It Up Amherstburg, centre ville d'Amherstburg, le 6 août 2017
Janet Haughton
Naturellement joli!
- Janet Haughton, Festival Canuck It Up Amherstburg, centre ville d'Amherstburg, le 6 août 2017
Konrad Sioui (ancien grand chef de la Nation huronne-wendat)
Le cœur de l’Amérique du Nord
Nombreuses sont les histoires que nous pouvons raconter. Pensons en tout premier lieu à celle du mot « Ontario », dont bien des gens ignorent la signification, avançant différentes explications. Il faut savoir que, dans la langue huronne « io » est un superlatif et «