L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Christopher Wai
L’archéologie occupe une place importante dans ma vie depuis qu’à l’âge de 16 ans j’ai participé au cours sur le terrain à l’intention des élèves du secondaire de l’école Boyd, de l’Office de protection de la nature de Toronto et de la région (TRCA), mais mon intérêt pour cette science date de plus
Lynn Thompson
Merci île Turtle. Terre ancestrale des Mississaugas de la Première Nation de New Credit, pour ta force, ta résilience et ton savoir!!
- Lynn Thompson – Journée nationale des Autochtones au lieu historique national Fort York – 21 juin 2017
Nathan Tidridge
Les habitants de #Waterdown réservent leur place pour la parade du père Noël de Flamborough qui aura lieu plus tard dans la journée. #MonOntario
Miptoon (Anthony Chegahno)
Anthony Chegahno, dont le nom anishinaabe est Miptoon, est un aîné, un résident de Neyaashiiningmiing et un ancien conseiller de bande pour la Première Nation chippewa de Nawash.
Philip Pritchard (vice-président et conservateur du centre de ressources, Temple de la renommée du hockey, et gardien de la coupe Stanley)
L’Ontario et la Coupe Stanley
Le hockey est le sport national du Canada, et qui dit hockey dit coupe Stanley. La coupe inspire un grand respect aux amateurs, joueurs, entraîneurs et directeurs d’équipe, et la tradition et l’aura qui l’entourent sont incomparables.
J’ai eu le privilège de voyager
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen
Jim Szilva (auteur et fils de Ted Szilva, créateur du projet Big Nickel)
Une pièce de cinq cents et une prière
En 1963, un pompier nommé Ted Szilva s’inscrivait à un concours organisé par le Comité du centenaire du Canada à Sudbury. Le comité avait demandé aux résidants de la ville de trouver un moyen original de souligner et de marquer le centenaire du Canada à Sudbur
Dawson Bridger
La photo de mon arrière-arrière-grand-père, Frederick Allen Weir, sur la page couverture du magazine Rod and Gun de 1913, établit un lien entre moi et un membre de la famille que je n'ai jamais connu. Elle a été prise près du parc provincial Rondeau, où ma famille vivait à l'époque. Frederick Weir,
Olivia Wallace
Depuis que les appareils photos numériques se sont répandus, un de mes principaux passe-temps consiste à prendre des photos de ma famille, de mes amis et du milieu naturel et bâti qui m’entoure. Maintenant que j’ai un téléphone ayant un appareil photo fantastique, je prends des photos et j’en transm
Oksana Kravets
Il y a des gens qui s’arrêtent pour respirer le parfum des roses. Certains se réveillent de bonne heure pour assister au lever du soleil. Mon père guette les orages.
Petite fille, je le voyais se lever aux premiers grondements du tonnerre, baisser le son de la télé et se placer devant la fenêtre.
Eleanor McMahon (ministre du Tourisme, de la Culture et du Sport de l'Ontario)
« A Place to Stand »
En qualité de ministre du Tourisme, de la Culture et du Sport, j’ai eu le privilège de rencontrer un grand nombre de citoyens fiers, talentueux et travailleurs, à plusieurs activités et événements spéciaux auxquels j’ai participé. Une de ces rencontres m’a particulièrement frapp
William R. Fitzgerald (archéologue)
L’histoire et l’archéologie réunies par la foi
Le soupçon, la peur et l’intimidation attendaient les prêtres jésuites Jean de Brébeuf et Pierre-Joseph-Marie Chaumonot durant leur « mission des Anges » dans la « Nation Neutre » du 2 novembre 1640 au 19 mars 1641. Le territoire de cette confédératio
Ellen Scheinberg (auteure et présidente, Heritage Professionals/Archives)
Souligner l’histoire des cimetières juifs de Toronto
J’ai développé une passion pour les cimetières ces dix dernières années. Tout cela a commencé à l’époque où j’étais directrice des Archives juives de l’Ontario, quand j’ai organisé une visite du cimetière de l’avenue Pape avec l’artiste locale Sus
Susan Bryan (présidente bénévole du Nature Reserves Committee des Thunder Bay Field Naturalists)
Quelqu’un est passé par ici avant nous
Je me tiens sur le pont d’un petit bateau, affrontant les houles de la rivière Nipigon, là où elle s’élargit pour former le lac Supérieur. Devant moi, une falaise rocheuse se dresse hors de l’eau. Sa paroi montre une série de pictogrammes (lignes, cercles et
Sylvia
J’ai l’âme aventureuse; je suis née comme ça, c’est dans mes gènes (on m’appelle encore Ajala la voyageuse). Nous sommes déménagés au Canada en 2015, après avoir vécu dans quatre pays et avoir voyagé dans une vingtaine… et ce n’est pas fini. Nous ne connaissions pas grand-chose du Canada avant de dé
Katherine Low
La maison de la rue Drake
Au numéro 3. Bâtie en 1876, cette maison a été témoin de bien des changements et en a connu beaucoup; elle n’est pas tout à fait la même maintenant, mais je pense qu’elle est pas mal du tout pour ses 141 ans.
Lorsque mes parents l’ont achetée pour y loger leurs deux to
Alicia Hawkins
En 2006, des étudiants de l’Université Laurentienne et de l’Université de Toronto faisaient des fouilles au site Thomson-Walker, dans le comté de Simcoe. Ce site est un gros village huron-wendat se trouvant sur une propriété de la Fiducie du patrimoine ontarien. Je me souviens nettement du jour où u
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Jasmine Ouellette
Un endroit où nous accueillons et aidons tout le monde.
- Jasmine Ouellette, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
Nathan Tidridge
La très belle Chapelle-de-Sa-Majesté @MohawkChapel – la plus vieille église protestante de #MonOntario. #ChapelRoyal
L'honorable David Onley (28e lieutenant-gouverneur de l’Ontario)
Réflexions sur les 150 ans de l’Ontario
Une photo a fait partie du patrimoine de notre famille. Elle représentait Sa Majesté la Reine à Kew Gardens dans le quartier The Beach, escortée par le propriétaire des Maple Leafs de Toronto, Conn Smythe, en une suffocante journée de juin 1959, en train de
Ken Butland
Bon Echo
Vous voyez la pancarte – oh, vous y êtes;Bon Echo est un plaisir pour les yeux.
Des générations de familles font du campingAutour d’un feu et d’une lampe au propane.Elles rient et jouent, canotent et cuisinent,Ou se prélassent, la tête dans un bouquin.Les parents apprennent à leurs enfa
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.