L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
David Rayside (professeur émérite de sciences politiques et directeur fondateur du Mark S. Bonham Centre for Sexual Diversity Studies, Université de Toronto)
Fait historique
À 18 h le 2 décembre 1986, l’Assemblée législative de l’Ontario devait se prononcer par vote sur l’ajout du terme « orientation sexuelle » au Code des droits de la personne de la province. Dix minutes auparavant, au collège de l’Université, je terminais un cours de fin d’après-midi
Kevin Mannara (scolastique basilien (séminariste), paroisse catholique Our Lady of Assumption/Notre-Dame de l’Assomption, Windsor)
Ce qui était et ce qui sera
Le terme symbolkirchen pourrait approximativement être traduit comme une « église porteuse de symboles ». De telles églises évoquent des réalités qui nous dépassent. Elles ont le pouvoir de servir de pont pour relier ce qui a été et ce qui peut advenir en transcendant q
Janet Haughton
Naturellement joli!
- Janet Haughton, Festival Canuck It Up Amherstburg, centre ville d'Amherstburg, le 6 août 2017
Lynne D. DiStefano
Au fil de la « Tamise » ontarienne
Au milieu des années 1990, George Kapelos et moi, nous avons commencé à travailler à une exposition sur la rivière Thames (la « Tamise » ontarienne) qui allait avoir lieu au musée de London.
Je ne me souviens pas quand exactement la rivière a commencé à me fascin
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen
Jean-Luc Pilon (conservateur, Archéologie centrale, au Musée canadien de l’histoire d’Ottawa)
Le don du voyage dans le temps
À l’été 1982, je menais des recherches archéologiques près des côtes de la baie d’Hudson, le long de la rivière Severn. L’un des sites sur lequel nous faisions des recherches avait été utilisé à diverses reprises. D’après les premiers éléments de preuve, des gens ava
D’après une entrevue avec Josephine Mandamin (grand-mère et récipiendaire d’un Prix du lieutenant-gouverneur pour les réalisations en matière de conservation du patrimoine ontarien en 2015)
Marcher près de l’eau
Lorsque nous sommes en harmonie avec l’eau, nous prions pour elle. L’eau que nous portons, nous prions pour elle et nous la prions; nous lui parlons. Nos esprits et nos cœurs sont avec l’eau que nous portons. L’eau est très précieuse. Nous l’avons adoptée. Nous l’avons recuei
Beth Hanna (directrice générale, Fiducie du patrimoine ontarien)
L’Ontario compte des esprits immensément créatifs. Les mots de Thomas King, d’Alice Munro, de Michael Ondaatje et d’Al Purdy. La musique de Glenn Gould, de Gordon Lightfoot, de la Nathaniel Dett Chorale et de Sarah Harmer. Les tableaux de Norval Morrisseau, de Doris McCarthy, d’A.Y. Jackson, de Daph
Delany Leitch, maison-musée Backus-Page
John Pearce a fondé la fromagerie Tyrconnell en 1865 sur sa propre ferme. À l’époque, les boîtes à fromage ne se trouvaient même pas partout dans le comté d’Elgin, de sorte que M. Pearce et ses hommes devaient faire le long et lent voyage jusqu’à Ingersoll, et en revenir, pour s’en procurer. Plus ta