L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Kathy Stinson (auteur de livres pour les jeunes)
Lorsque j'ai commencé à aller au chalet dont la famille de mon mari est propriétaire depuis plus d'une centaine d'années, j'ai adoré le sentiment de continuité que j'y ressentais, car cinq générations profitaient des traditions que le grand-père Gordon a établies au début des années 1900. Et l'endro
Christine McMullan (née Orlowski)
Dans les années 1920 et 1930, mon père, ses six frères et sœurs et ses parents quittaient Toronto pour effectuer des travaux saisonniers dans des fermes de la région de Vineland. Il se souvient d’une ferme en particulier, la ferme Culps de la rue John, où il était logé dans une petite cabane avec to
Keirsten et Kasha
La Place Fulford était à la fin du XIXe siècle le domaine d’un millionnaire appelé George Fulford I. Ce domaine a été transmis à son fils, George Fulford II, qui, au moment de son décès, l’a légué à la Fiducie du patrimoine ontarien. Les trois raisons pour lesquelles la Fiducie a décidé de s’occuper