L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Carol Page
Mon Ontario est représenté par le lac Ontario. En toutes saisons, la vue du lac est impressionnante. J’ai voulu saisir l’essence même de l’eau du lac en en recréant les couleurs. Mon installation s’appelle « Watermarks ». J’ai utilisé des tissus, des échantillons de peinture, des papiers, des fils d
#MonOntario
Nous voulons connaître les lieux qui vous inspirent!
La maison de votre enfance. La patinoire où vous avez compté votre premier but. Le sentier de randonnée que vous connaissez comme le fond de votre poche. Parlez-nous des endroits qui occupent une place toute particulière dans votre cœur.
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Keirsten et Kasha
La Place Fulford était à la fin du XIXe siècle le domaine d’un millionnaire appelé George Fulford I. Ce domaine a été transmis à son fils, George Fulford II, qui, au moment de son décès, l’a légué à la Fiducie du patrimoine ontarien. Les trois raisons pour lesquelles la Fiducie a décidé de s’occuper
Andrew Riddle (associé chez ASI)
Pendant des millénaires, la rivière Grand, qui relie de grandes étendues des terres du Golden Horseshoe au lac Érié, a servi de route aux gens des Premières Nations du sud de l’Ontario. Les rives de la rivière Grand ont parfois été qualifiées de long site archéologique, ce qui s’est assurément avéré
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Carl Benn (faculté d’histoire, Université Ryerson)
Photos d’une résidence édouardienne
J’ai 16 photographies montrant la résidence de mes arrière-grands-parents à St. Catharines vers 1905. Personnellement, j’aime ces photographies parce qu’elles contiennent des détails de la vie de mes ancêtres. Je vois aussi dans ces images certains meubles avec
Susan Bryan (présidente bénévole du Nature Reserves Committee des Thunder Bay Field Naturalists)
Quelqu’un est passé par ici avant nous
Je me tiens sur le pont d’un petit bateau, affrontant les houles de la rivière Nipigon, là où elle s’élargit pour former le lac Supérieur. Devant moi, une falaise rocheuse se dresse hors de l’eau. Sa paroi montre une série de pictogrammes (lignes, cercles et
John Steckley
Mon histoire du côté des Brodie
En 1835, un gamin écossais de neuf ans appelé Alexander Brodie, qui venait de Peterhead, dans le nord-est de l’Écosse, est arrivé par navire et par bateau dans le sud de l’Ontario. Lui et sa famille ont passé leur première année rue Lot (maintenant, la rue Queen),