L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
L'honorable James Bartleman (27e lieutenant-gouverneur de l’Ontario)
Mon Muskoka – hiver 1949
Chaque soir quand j’étais enfant, dans les années 1940, je plaçais les grosses billes de bois sur le banc de scie et, à l’aide d’une petite scie à bûches je les coupais en longueurs adaptées à l’âtre du poêle et, par la suite, je refendais les grosses bûches en morceaux pl
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Mélanie-Rose Frappier (bénéficiaire du Prix du lieutenant-gouverneur pour les réalisations des jeunes en matière de conservation du patrimoine ontarien en 2014)
Sur la voie de la réconciliation
L’éducation est primordiale. Elle facilite le processus de guérison des peuples autochtones et favorise l’éveil de la conscience collective à l’égard de leur culture. Mes ancêtres ont lutté pendant des centaines d’années pour le droit d’adopter leur propre mode de
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Andrew Riddle (associé chez ASI)
Pendant des millénaires, la rivière Grand, qui relie de grandes étendues des terres du Golden Horseshoe au lac Érié, a servi de route aux gens des Premières Nations du sud de l’Ontario. Les rives de la rivière Grand ont parfois été qualifiées de long site archéologique, ce qui s’est assurément avéré
Erin S.
J’ai grandi à LaSalle dans les années 1980, et nous prenions alors plusieurs fois chaque été le traversier pour l’île Boblo. Une partie de cette île, qui est située dans la rivière Detroit en face d’Amherstburg, a été un parc d’attractions du début du XXe siècle à sa fermeture en 1993.
Il y a que
Waubageshig
Récupérer le traîneau
C’est la mi avril. Mes trois frères – Michael, Tom et George – et moi, nous nous lançons des balles dehors sous le chaud soleil d’un après-midi de printemps. J’ai 11 ans, Michael en a 8, Tom 7 et George 6. Le soleil a été chaud toute la semaine et a fait disparaître la neige
Kevin Mannara (scolastique basilien (séminariste), paroisse catholique Our Lady of Assumption/Notre-Dame de l’Assomption, Windsor)
Ce qui était et ce qui sera
Le terme symbolkirchen pourrait approximativement être traduit comme une « église porteuse de symboles ». De telles églises évoquent des réalités qui nous dépassent. Elles ont le pouvoir de servir de pont pour relier ce qui a été et ce qui peut advenir en transcendant q