L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Le « Paradis d'une folle »
Cette propriété surplombe les falaises de Scarborough, écosensibles et géologiquement importantes, qui présentent des sédiments laissés par des glaciers pendant 70 000 ans, lors de la dernière période du Pléistocène. Les Autochtones ont peut-être habité ce site dès 8 000 av. J.-C. En 1833, l'immigra
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Litsa Tsouluhas
J’adore Toronto parce qu’elle célèbre la diversité. C’est unique, pas seulement au Canada, mais aussi dans le monde.
L’Ontario signifie les Grands Lacs.
L’Ontario fait un effort pour réparer les torts d’un passé de colonisateurs.
- Litsa Tsouluhas – Journée nationale des Autochtones au lieu
Aleksander Sielicki
PAINTINGS ON CANVASTONE
We are sailing on the ferry to Pelee
Island. The mist from the water sets on my face. I look to the horizon,
which soon disappears. I look deeper and deeper. The mysterious beauty
of eternity. The afterimage of the sun when I closed my eyes. The sun is
still in a sh
Christine McMullan (née Orlowski)
Dans les années 1920 et 1930, mon père, ses six frères et sœurs et ses parents quittaient Toronto pour effectuer des travaux saisonniers dans des fermes de la région de Vineland. Il se souvient d’une ferme en particulier, la ferme Culps de la rue John, où il était logé dans une petite cabane avec to
Sam Steiner (rédacteur en chef de la Global Anabaptist Mennonite Encyclopedia Online et archiviste à la retraite des Mennonite Archives of Ontario)
Une nuée de témoins
En tant qu’historien du mennonisme en Ontario, j’ai toujours aimé errer dans les cimetières mennonites et amish. Ces lieux calment l’âme, qu’il s’agisse des cimetières modestes du Vieil Ordre (amish ou mennonite) comportant de simples stèles ou des cimetières mennonites assimil
Kristen McLaughlin
Je ne suis pas originaire de l’Ontario. J’ai déménagé ici récemment, en septembre 2016. La maison, c’est dans l’Ouest, puisque j’ai grandi en Alberta et que je suis allée à l’école à Vancouver. Il y a dans ce pays une ligne de démarcation bien nette entre les deux moitiés, l’Est et l’Ouest. Lorsque