L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
MonOntario, c’est…
MonOntario – Une vision au fil du temps visite des collectivités partout dans la province parce que nous voulons découvrir ce que l’Ontario signifie pour vous!
En 2017, nos stands interactifs et la tournée MonOntario seront sur place lors d’événements communautaires, dans les musées et ailleurs. Il s’agit d’une occasion unique de vous joindre à une conversation qui se déroule partout dans la province sur nos expériences, nos identités, nos valeurs et nos aspirations.
Allez aux liens ci après pour voir les photos de MonOntario sur Flickr.
Galeries de photos MonOntario :
30 septembre: Po
Alicia Hawkins
En 2006, des étudiants de l’Université Laurentienne et de l’Université de Toronto faisaient des fouilles au site Thomson-Walker, dans le comté de Simcoe. Ce site est un gros village huron-wendat se trouvant sur une propriété de la Fiducie du patrimoine ontarien. Je me souviens nettement du jour où u
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
L'honorable James Bartleman (27e lieutenant-gouverneur de l’Ontario)
Mon Muskoka – hiver 1949
Chaque soir quand j’étais enfant, dans les années 1940, je plaçais les grosses billes de bois sur le banc de scie et, à l’aide d’une petite scie à bûches je les coupais en longueurs adaptées à l’âtre du poêle et, par la suite, je refendais les grosses bûches en morceaux pl
Lynn Thompson
Merci île Turtle. Terre ancestrale des Mississaugas de la Première Nation de New Credit, pour ta force, ta résilience et ton savoir!!
- Lynn Thompson – Journée nationale des Autochtones au lieu historique national Fort York – 21 juin 2017
Alphonse Tourville
Élevé en Ontario, nation crie d’Attawapiskat, survivant des pensionnats, j’ai parcouru le Canada, je vis à Terre-Neuve, mon nouveau foyer depuis 30 ans, mais rien ne supprime le désir de nombreuses visites.
R. Dennis Moore (Archiviste, Société d'histoire multiculturelle de l'Ontario)
Voici le passeport temporaire d’Arthur Schönberg, un ingénieur naval estonien qui a bravé la haute mer pour se faire une nouvelle vie au Canada. Bien que je n’aie jamais rencontré M. Schönberg, la Société d’histoire multiculturelle de l’Ontario a préservé son histoire sur bande audio.
Arthur Schön
Holly Martelle (directrice chez Timmins Martelle Heritage Consultants Inc.)
Espoir en l’avenir
Mes journées d’archéologue se résument bien souvent à analyser minutieusement et systématiquement de petits fragments de la vie quotidienne, et ce, pendant des heures et des heures. L’an dernier, au cours d’une recherche archéologique en plein centre-ville de Toronto, nous avons
Deepa Mehta (réalisatrice, productrice et scénariste)
La riche diversité de l’Ontario
Quand je pense à l’Ontario, c’est l’inclusion et la diversité, et la richesse qui en résulte pour notre province, qui me viennent en tête. Dans un monde en proie à une xénophobie alarmante et à une dynamique nativiste, nous sommes, à mon avis, un refuge pour l’« aut