L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Jim Szilva (auteur et fils de Ted Szilva, créateur du projet Big Nickel)
Une pièce de cinq cents et une prière
En 1963, un pompier nommé Ted Szilva s’inscrivait à un concours organisé par le Comité du centenaire du Canada à Sudbury. Le comité avait demandé aux résidants de la ville de trouver un moyen original de souligner et de marquer le centenaire du Canada à Sudbur
Alisha Mohamed-Marchant
Enfant, je m’imaginais archéologue, explorant les sépultures et les temples. Devenue adulte et archéologue, j’explore les bibliothèques et les archives. Évidemment, ce n’est pas aussi prestigieux que l’archéologie qu’on voit à la télévision, mais, pour moi, c’est le récit continu qui révèle lentemen
Safaa Zbib
Ma vie est pleine d’histoires et Mon Ontario est leur dernière… Mon cœur est arrivé au Canada bien avant que je n’y vienne; dans les années 1980, mon frère a émigré à Montréal. J’adorais toutes les photos qu’il envoyait. Je suis devenue amoureuse de la verdure; je ressentais la paix et la sérénité.
Diana Yampolsky
Mon partenaire, Ted Kowalczyk, et moi-même avons fondé l’école Royans Professional Vocal School (alias The Royans School for the Musical Performing Arts) en 1984. Auparavant, Ted et moi avions présenté des spectacles en duo dans la région de Toronto, un duo appelé « Toronto Mini Caravan ».
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