L’histoire culturelle de ce qui constitue aujourd’hui l’Ontario remonte à plus de 10 000 ans. Bon nombre de nations et de personnes ont choisi de s’établir sur ce territoire. MonOntario – une vision au fil du temps met en relief cette longue histoire par l’amorce d’une conversation entre Ontariennes et Ontariens au sujet de nos expériences, identités, valeurs et aspirations.
La Fiducie invite les résidents de toute la province à raconter des pans d’histoire – les lieux, les souvenirs, les photos, les artefacts, les œuvres d’art et les traditions qui les inspirent, les motivent et aident à les définir. Soyons les conteurs, historiens, archivistes ou visionnaires de la province!
Approfondissons la compréhension de l’Ontario, affichons notre diversité et créons un legs durable qui reflète l’envergure, la profondeur et la complexité de notre grande province, alors que nous imaginons l’avenir.
Jasmine Ouellette
Un endroit où nous accueillons et aidons tout le monde.
- Jasmine Ouellette, Bay and Algoma Buskers Festival (Thunder Bay), le 30 juillet 2017
#MonOntario
Racontez ce que vous avez découvert lors de Portes ouvertes Ontario
Depuis les paysages naturels jusqu’aux cabanes centenaires et aux merveilles du génie moderne, tous les lieux racontent une histoire. Portes ouvertes Ontario offre l’occasion d’explorer certains des endroits les plus fascinants d
Erin S.
J’ai grandi à LaSalle dans les années 1980, et nous prenions alors plusieurs fois chaque été le traversier pour l’île Boblo. Une partie de cette île, qui est située dans la rivière Detroit en face d’Amherstburg, a été un parc d’attractions du début du XXe siècle à sa fermeture en 1993.
Il y a que
Refuge agricole des garçons arméniens
Le 1er juillet 1923, 50 garçons arméniens arrivent dans cette ferme en provenance de Corfou, en Grèce. Les « garçons de Georgetown », comme on les appelle alors, arrivent au Canada entre 1923 et 1927. Ils sont 109 au total. Ces orphelins sont des survivants du génocide arménien (1915-1923). Leur sor
Mélanie-Rose Frappier (bénéficiaire du Prix du lieutenant-gouverneur pour les réalisations des jeunes en matière de conservation du patrimoine ontarien en 2014)
Sur la voie de la réconciliation
L’éducation est primordiale. Elle facilite le processus de guérison des peuples autochtones et favorise l’éveil de la conscience collective à l’égard de leur culture. Mes ancêtres ont lutté pendant des centaines d’années pour le droit d’adopter leur propre mode de
Olivia Wallace
Le jour de l’émancipation. ENFIN LIBRES!
- Olivia Wallace, célébration du jour de l'émancipation au Site historique de la Case de l'oncle Tom, Dresden, le 5 août 2017
Leah et Kaitlin, Place Fulford
Dans un lieu historique, nous travaillons quotidiennement avec des artefacts et nous les présentons au public. Ce qui n’est pas évident, c’est l’histoire qui se cache derrière chaque objet, qui rend nos recherches encore plus emballantes et intéressantes. Cette photo montre quelques-uns des 79 objet
Oksana Kravets
Il y a des gens qui s’arrêtent pour respirer le parfum des roses. Certains se réveillent de bonne heure pour assister au lever du soleil. Mon père guette les orages.
Petite fille, je le voyais se lever aux premiers grondements du tonnerre, baisser le son de la télé et se placer devant la fenêtre.
R. Donald Maracle (chef des Mohawks de la baie de Quinte)
Christ Church, la chapelle royale de Sa Majesté chez les Mohawks en territoire mohawk de Tyendinaga
Durant la Révolution américaine, les Mohawks ont été forcés d’abandonner leurs terres dans le nord de l’État de New York. En 1784, après avoir passé plusieurs années à Lachine, au Québec, un groupe
Ellen Scheinberg (auteure et présidente, Heritage Professionals/Archives)
Souligner l’histoire des cimetières juifs de Toronto
J’ai développé une passion pour les cimetières ces dix dernières années. Tout cela a commencé à l’époque où j’étais directrice des Archives juives de l’Ontario, quand j’ai organisé une visite du cimetière de l’avenue Pape avec l’artiste locale Sus
Paul Yee (historien et auteur)
Raconter l’histoire des Canadiens d’origine chinoise
Je suis inspiré par quelque chose d’immatériel : le passé, surtout celui des Canadiens d’origine chinoise. J’ai grandi à Vancouver sans en savoir beaucoup sur mes origines. Mais je n’ai jamais cessé d’en faire le récit depuis que j’en ai trouvé
Centre des sciences de l'Ontario
Le Centre des sciences de l’Ontario se tisse une place dans l’histoire
Le Centre des sciences de l’Ontario est le fier propriétaire d’un métier à tisser Jacquard datant du XIXe siècle, qui utilise des chaînes de cartes perforées pour contrôler les mouvements de la machine. Essentiellement, la prés
#MonOntario
Nous voulons connaître les lieux qui vous inspirent!
La maison de votre enfance. La patinoire où vous avez compté votre premier but. Le sentier de randonnée que vous connaissez comme le fond de votre poche. Parlez-nous des endroits qui occupent une place toute particulière dans votre cœur.
Participez à la conversation sur les médias sociaux : Explorez les billets de #MonOntario sur le camping et joignez-vous à nous sur Instagram, Twitter et Facebook.
David P. Silcox (auteur, éducateur, administrateur culturel et défenseur des arts)
MON ONTARIO, C’EST :
RosalieAbella, RobertAitken, AndréAlexis, LouApplebaum, MargaretAtwood, IainBaxter&, StanBevington, BillBissett, JeanBoggs, DaveBroadfoot, EdBurtynsky, JackBush, JackCostello, DavidCrombie, KikiDelaney, LouiseDennys, MichaeldePencier, RamsayDerry, RupertDuchesne, BuddFeheley
Michael Bliss, 1941-2017 (historien, auteur primé et professeur émérite, Université de Toronto)
Retour chez soi
La première fois que j’ai vu la rive du lac Canoe au camp Ahmek, dans le parc Algonquin, remonte à 1951. J’ai revu cette rive l’été dernier, 65 ans plus tard, et le paysage est demeuré intact, presque inchangé.
Des plaques évoquant les faits saillants de chaque été passé au camp
Chloe Cooley et la loi de 1793 visant à restreindre l'esclavage dans le Haut-Canada
Le 14 mars 1793, Chloe Cooley, une esclave noire de Queenston, fut enchaînée, jetée dans un bateau et vendue à son nouveau propriétaire de l'autre côté du fleuve, aux États-Unis. Un voisin, William Grisley, fut témoin de ses cris et de sa résistance acharnée; il en informa Peter Martin, un Noir libr
Andrew Riddle (associé chez ASI)
Pendant des millénaires, la rivière Grand, qui relie de grandes étendues des terres du Golden Horseshoe au lac Érié, a servi de route aux gens des Premières Nations du sud de l’Ontario. Les rives de la rivière Grand ont parfois été qualifiées de long site archéologique, ce qui s’est assurément avéré
J.M. Rowe, Esquesing Historical Society
La Grande Guerre de 1914-1918Le front intérieur – Georgetown
C’est grâce aux efforts du Women’s Institute de Georgetown que cette courtepointe a été créée en 1915. Les citoyens devaient débourser 10 ¢ pour faire broder un nom sur un carré qui allait servir à la réaliser. Elle a été terminée à temp
Christine McMullan (née Orlowski)
Dans les années 1920 et 1930, mon père, ses six frères et sœurs et ses parents quittaient Toronto pour effectuer des travaux saisonniers dans des fermes de la région de Vineland. Il se souvient d’une ferme en particulier, la ferme Culps de la rue John, où il était logé dans une petite cabane avec to
Jeu de drapeaux du Royal Canadian Regiment (vers 1901-1906)
Autrefois utilisés à des fins pratiques comme point de ralliement sur un champ de bataille, les drapeaux régimentaires sont aujourd’hui exclusivement des objets cérémoniels qui représentent l’histoire et l’esprit d’un régiment.
Traditionnellement, les régiments d’infanterie canadiens ont deux drapeaux : le premier est le drapeau du monarque régnant portant le monogramme royal, et le second est le drapeau régimentaire portant les décorations illustrant les honneurs de bataille brodées sur des rouleaux. Les honneurs de bataille sont une reconnaissance officielle de l’engagement d’un régiment a
Afua Cooper, Ph. D. (titulaire de la chaire James Robinson Johnston d’études sur les Noirs du Canada, Université Dalhousie)
L’histoire des Noirs de l’Ontario m’inspire et me définit
Peggy Pompadour hante mon esprit. Je peux sentir sa présence lorsque je marche dans les rues du Vieux-Toronto (Ye Olde Towne Toronto). Cette femme noire a été une esclave ici même. Appartenant alors à l’administrateur colonial Peter Russell
Larry Wayne Richards (ancien membre du conseil de la Fiducie, professeur émérite et ancien doyen de la faculté d’architecture, du paysage et du design John H. Daniels, Université de Toronto)
Les trains de l’Ontario
Mes premiers souvenirs visuels de l’Ontario, je les tiens d’un train de voyageurs il y a 45 ans. En 1972, j’ai franchi la frontière à Detroit et pris le train de Windsor à Toronto. De ma fenêtre, j’appréciais le paysage du Sud-Ouest de l’Ontario, le vert ondoyant des terres
Musée de la Niagara Historical Society
Niagara-on-the-Lake est une des rares villes de l’Ontario où il y a des Noirs depuis le début de la province. C’est toutefois au cours des années qui ont suivi la Guerre de 1812 que le nombre d’immigrants noirs et d’esclaves en fuite a augmenté à Niagara. Après l’adoption de la loi américaine de 185
Kendrick Doll
Je suis si reconnaissant d’avoir connu des aventures dans bon nombre des paysages de l’Ontario. En voici quelques-unes que je n’ai pas oubliées.
Mon Ontario, c’est :
en kayak sur le fleuve Saint-Laurent, dans les Mille-Îles, sentir les vagues qui éclaboussent mon visage;assis autour d’un feu au ch
John Steckley
Mon histoire du côté des Brodie
En 1835, un gamin écossais de neuf ans appelé Alexander Brodie, qui venait de Peterhead, dans le nord-est de l’Écosse, est arrivé par navire et par bateau dans le sud de l’Ontario. Lui et sa famille ont passé leur première année rue Lot (maintenant, la rue Queen),